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Dans l'excitation qui a suivi la mise en ligne de la bande-annonce jeudi dernier de Terminator Genisys, peu ont réalisé sur le moment qu'il n'y a pas eu qu'un seul trailer, mais trois ! Voici la première bande-annonce en VO sous-titrée :C'est déjà sympathique. Au même moment, la même bande-annonce était publiée sans sous-titre, pour le marché américain :Et enfin, une autre bande-annonce en VO a été aussi mise en ligne :Comme on peut le voir, notre bande-annonce VOST oublie quelques scènes. En tout, c'est près d'une minute qui a disparu. Notamment les plans de Kyle Reese (Jai Courtney) nu :Mais aussi la réplique "Now, soldier !" lancée par Sarah Connor (Emilia Clarke) à Kyle Reese. Ce qui est vraiment dommage pusqu'il s'agit de la reprise d'une réplique (issue du premier film) de la première Sarah Connor (Linda Hamilton), qu'elle balance à Kyle (Michael Biehn), alors blessé par le Terminator, pour le remettre sur pieds. Dans le trailer longue durée, Sarah enchaîne cette réplique avec le fameux "Come with me if you want to live", qui est la première phrase que Kyle dit à Sarah dans le Terminator de 84... Bref, le trailer court oublie un détail important pour montrer que Sarah Connor promet d'être déjà une vraie badass dans Terminator Genisys.Manquent également ces deux plans où Kyle et Sarah s'arment dans leur bunker :Plus une petite scène en fin de trailer où Sarah explique à Kyle qu'ils peuvent empêcher le "Jugement dernier" (l'holocauste nucléaire provoqué par les machines pour éradiquer l'espèce humaine, avant de shooter une menace venue du plafond :Ne criez pas tout de suite à la censure. Il y a une explication : la première bande-annonce est en réalité le trailer "international" -toujours plus crourt- tandis que le trailer américain est le "full trailer". Au moins a-t-on la même dose d'Arnold Schwarzenegger dans tous les trois trailers. Terminator Genisys sortira en France le 1er juillet 2015.Voir aussi : Arnold Schwarzenegger répond aux questions des fans de TerminatorVoir aussi : Pourquoi Terminator est toujours un chef-d'oeuvre, 30 ans après