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VIDEOS - Retour sur l'histoire du studio Aardman

La story Aardman

Six ans après Wallace et Gromit ? Le Mystère du lapin-garou, le studio Aardman prend le large avec Pirates, bons à rien, mauvais en tout. En pâte à modeler, aventureux en diable et toujours follement imaginatif, le film est une belle occasion de faire le point sur les grandes heures d?une maison vraiment pas comme les autres.<strong>Par Christophe Narbonne</strong>

Premier gros chèque

Après l?exceptionnelle réussite artistique de <em>Rasé de près</em>, Aardman n?a plus d?autre choix pour se développer que de passer au long métrage, challenge qui nécessite un allié de poids. De plus en plus courtisé par les majors américaines, Aardman se montre sensible au discours de DreamWorks qui lui garantit une liberté de manoeuvre conséquente. Le deal (un contrat de distribution pour cinq films) est entériné en 99 avec un chèque de 250 millions de dollars à la clé. Le tout à la barbe de Disney, ennemi juré de <strong>Jeffrey Katzenberg</strong>, l?un des fondateurs de DreamWorks avec <strong>Steven Spielberg</strong>.

A l'occasion de la sortie de Pirates, retour sur l'histoire d'un studio pas comme les autres...