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PHOTOS - Léa Seydoux : icône moderne ou beauté anachronique ?

Léa Seydoux dans "Robin des Bois" de Ridley Scott

Léa Seydoux dans "Robin des Bois"

Léa Seydoux dans "Mystères de Lisbonne", de Raul Ruiz

Léa Seydoux tellement à l'aise dans les films dr'époque

Léa Seydoux en corset dans "Les Adieux à la Reine"

Léa Seydoux lors des César 2011

Léa Seydoux, magnifique sur tapis rouge...

A la fois muse de la nouvelle génération et icône de films plus classiques, <strong>Léa Seydoux</strong> incarne à la perfection la grâce et l'élégance à la française, quelque soit l'époque dans laquelle elle est plongée. Aussi à l'aise en paumée des années 2000 qu'en confidente de Marie-Antoinette, la jeune comédienne est en train de devenir indispensable au cinéma français. Petite-fille de <strong>Jérôme Seydoux</strong> (président de Pathé) et petite-nièce de <strong>Nicolas Seydoux</strong> (président de Gaumont), <strong>Léa Seydoux</strong> a beau être une enfant de la balle, elle est arrivée calmement et sereinement dans notre paysage cinématographique. Et même si elle a déjà tourné plus d'une vingtaine de films en cinq ans (dont un bon quart de production hollywoodiennes), la comédienne trace sa route discrètement. Avec sa blondeur solaire, sa peau laiteuse et sa voix grave, <strong>Léa Seydoux</strong>, 26 ans, fait figure d'ovni chez les jeunes comédiennes françaises. Alternant films d'auteurs contemporains, films d'époque à gros budget et campagnes de mode (elle est égérie de Prada depuis 2011), <strong>Léa </strong>est inclassable. Est-elle une icône moderne ou rappelle-t-elle un charme du passé ? Ce qui est certain, c'est qu'avec sa beauté universelle et son talent, elle peut tout incarner. Ainsi, on la retrouve très régulièrement chez la jeune garde française. Sublimée par <strong>Christophe Honoré</strong> (La Belle Personne), elle a également illuminé les ?uvres de <strong>Bertrand Bonello</strong> (<em>De la guerre</em>), <strong>Sébastien Lifshitz</strong> (<em>Mon faible c?ur</em>, Plein Sud), <strong>Rebecca Zlotowski</strong> (Belle épine), ou aujourd'hui <strong>Ursula Meier</strong> (L'Enfant d'en haut). Avec son jeu naturel, ses émotions retenues et son physique fascinant, elle apporte toute sa complexité à ces rôles variés et habités. Dans un autre registre, à l'instar de <strong>Kate Winslet</strong> à une époque (on la surnommait alors "Corset Kate") et de <strong>Keira Knightley</strong> aujourd'hui, les cinéastes aiment offrir à <strong>Léa </strong>des rôles dans des films d'époque. Est-ce dû à son élégance naturelle, à son port altier ou à sa beauté intemporelle, toujours est-il que <strong>Léa </strong>séduit autant dans des rôles contemporains que dans des personnages ayant vécu dans les siècles passés.Que ce soit dans <em>Une Vieille Maîtresse</em> de <strong>Catherine Breillat</strong>, <em>Robin des Bois</em> de <strong>Ridley Scott</strong>, <em>Mystères de Lisbonne</em> de <strong>Raul Ruiz</strong> ou le récent Les Adieux à la Reine de <strong>Benoît Jacquot</strong>, <strong>Léa</strong> dévoile sa présence singulière et irradie les films qu'elle traverse. Inclassable (elle a actuellement les cheveux bleus pour <em>Blue is a hot Color</em> d'<strong>Abdellatif Kechiche</strong>, adapté du chef-d'?uvre de <strong>Julie Maroh</strong>), indémodable, talentueuse et déjà très demandée à l'étranger (<strong>Quentin Tarantino</strong>, <strong>Woody Allen</strong>, <strong>Brad Bird</strong>), <strong>Léa Seydoux</strong> s'est définitivement fait une place dans la cour des (futures) grandes. <strong>L'Enfant d'en haut</strong>, d'<strong>Ursula Meier</strong>, avec <strong>Léa Seydoux</strong>, <strong>Kacey Mottet Klein</strong> et <strong>Martin Compston</strong>, en salles le 18 avril. ?

Léa Seydoux à la Berlinale en 2012

Léa Seydoux absolument divine

Le meilleur profil de Léa Seydoux

La ravissante Léa Seydoux, cheveux courts

Léa Seydoux sublime pour la promo des "Adieux à la Reine"

Léa Seydoux en mode vamp

Léa Seydoux, très sexy sur tapis rouge

La très belle Léa Seydoux

A la fois muse de la nouvelle génération et icône de films plus classiques, Léa Seydoux incarne à la perfection la grâce et l'élégance à la française, quelque soit l'époque dans laquelle elle est plongée. Aussi à l'aise en paumée des années 2000 qu'en confidente de Marie-Antoinette, la jeune comédienne est en train de devenir indispensable au cinéma français.Petite-fille de Jérôme Seydoux (président de Pathé) et petite-nièce de Nicolas Seydoux (président de Gaumont), Léa Seydoux a beau être une enfant de la balle, elle est arrivée calmement et sereinement dans notre paysage cinématographique. Et même si elle a déjà tourné plus d'une vingtaine de films en cinq ans (dont un bon quart de production hollywoodiennes), la comédienne trace sa route discrètement.Avec sa blondeur solaire, sa peau laiteuse et sa voix grave, Léa Seydoux, 26 ans, fait figure d'ovni chez les jeunes comédiennes françaises. Alternant films d'auteurs contemporains, films d'époque à gros budget et campagnes de mode (elle est égérie de Prada depuis 2011), Léa est inclassable. Est-elle une icône moderne ou rappelle-t-elle un charme du passé ? Ce qui est certain, c'est qu'avec sa beauté universelle et son talent, elle peut tout incarner.Ainsi, on la retrouve très régulièrement chez la jeune garde française. Sublimée par Christophe Honoré (La Belle Personne), elle a également illuminé les œuvres de Bertrand Bonello (De la guerre), Sébastien Lifshitz (Mon faible cœur, Plein Sud), Rebecca Zlotowski (Belle épine), ou aujourd'hui Ursula Meier (L'Enfant d'en haut). Avec son jeu naturel, ses émotions retenues et son physique fascinant, elle apporte toute sa complexité à ces rôles variés et habités.Dans un autre registre, à l'instar de Kate Winslet à une époque (on la surnommait alors "Corset Kate") et de Keira Knightley aujourd'hui, les cinéastes aiment offrir à Léa des rôles dans des films d'époque. Est-ce dû à son élégance naturelle, à son port altier ou à sa beauté intemporelle, toujours est-il que Léa séduit autant dans des rôles contemporains que dans des personnages ayant vécu dans les siècles passés.Que ce soit dans Une Vieille Maîtresse de Catherine Breillat, Robin des Bois de Ridley Scott, Mystères de Lisbonne de Raul Ruiz ou le récent Les Adieux à la Reine de Benoît Jacquot, Léa dévoile sa présence singulière et irradie les films qu'elle traverse.Inclassable (elle a actuellement les cheveux bleus pour Blue is a hot Color d'Abdellatif Kechiche, adapté du chef-d'œuvre de Julie Maroh), indémodable, talentueuse et déjà très demandée à l'étranger (Quentin Tarantino, Woody Allen, Brad Bird), Léa Seydoux s'est définitivement fait une place dans la cour des (futures) grandes.L'Enfant d'en haut, d'Ursula Meier, avec Léa Seydoux, Kacey Mottet Klein et Martin Compston, en salles le 18 avril.