Avant d'arpenter les red carpet des cérémonies du septième art les plus prestigieuses, avant d'interpréter à l'écran un richissime trader (Le Loup de Wall Street), avant d'être l'égérie des luxueuses montres Tag Heuer, avant d'être un sex-symbol hollywoodien au bras des anges de Victoria's Secret les plus torrides, avant d'être un acteur multimillionnaire, avant la gloire il y avait juste Leonardo DiCaprio, un "gamin très pauvre".Dans les pages du Los Angeles Times, l'acteur se livre, se confie et raconte son enfance douloureuse dans un quartier des plus pauvres de la villes des anges hollywoodiens.Élevé par sa mère, dont il est toujours très proche et au bras de qui il préfère arpenter les tapis rouges plutôt qu'avec ses multiples conquêtes, Leonardo DiCaprio grandit dans un quartier délabré de Los Angeles avec un réseau de prostitution au coin de sa rue. Violence et criminalité sont le lot quotidien de sa jeunesse : "C'était vraiment comme dans Taxi Driver. J'ai grandi dans la pauvreté".L'acteur révèle également qu'une ruelle près de sa maison d'enfance était un lieu de défonce et des habitués de la cocaïne et du crack.Et c'est cette exposition précoce à la drogue qui lui fera prendre conscience des dangers liés : "Je n'ai jamais pris de drogue. Et c'est surtout parce que ça a été mon quotidien, tous les jours dès mes 3-4 ans".Alors forcément pour le jeune Leonardo DiCaprio, le monde d'Hollywood, la pression de la célébrité et les nombreux addicts dans ce milieu ne sont pas une tentation pour lui "J'allais aux soirées, il y avait de la drogue mais Hollywood c'était comme une promenade dans un parc pour moi".Et bien loin de son personnage sexe-drogue-glorification de l'argent du Loup de Wall Street, Leonardo DiCaprio est un exemple bien rare de sobriété à Hollywood.MC
Commentaires