Toutes les critiques de Une Estonienne à Paris

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    Tout est convenu dans ce deuxième long métrage, hormis son pays d’origine. Le scénario patine, la mise en scène enregistre. Cependant, il y a Jeanne Moreau, pas plus estonienne que vous et moi mais femme fatale dont les doigts perclus et néanmoins voraces écartent la chemise de son ex-amant. Diva boudeuse soudain irradiée de rires étourdissants comme des éclats d’enfance.

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Sandra Benedetti

    La mise en scène délicate exalte la renaissance des deux personnages prinicipaux que, au fond, seuls les ans séparent.

  2. Gala
    par La rédaction de Gala

    Un conte d'aujourd'hui où la Ville lumière tient aussi son rang, offrant une nouvelle fois son décor de rêve à ce qui est d'abord une histoire d'amour.

  3. Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    Un film sans prétention, concentré sur la confrontation entre deux femmes. (...) Jeanne Moreau est excellente en vieille dame rosse, tantôt méchante, tantôt attachante (...)

  4. Ecran Large
    par Melissa Blanco

    Un film attachant, idéal pour les fêtes de fin d’année. Malgré ses 84 années, Jeanne Moreau est toujours aussi géniale.

  5. Télérama
    par Frédéric Strauss

    L'Estonienne du titre vient s'occuper d'une vieille dame riche au caractère difficile. Un face-à-face dont la mise scène déjoue la théâtralité, cherchant, dans les à-côtés, les silences, le secret de ces personnages attachants. Une jolie musique de chambre, soutenue par des comédiens brillants.

  6. Nouvel Obs
    par François Forestier

    Ilmar Raag, jeune réalisateur estonien, a trouvé le bon équilibre : entre comédie et drame léger, raison et sentiment, douceur et colère, le film touche juste. On sort de là avec le sourire, et une immense tendresse pour Jeanne Moreau.

  7. Critikat.com
    par Estelle Bayon

    Flirtant avec ces différentes tonalités, le premier long-métrage d’Ilmar Raag (qui a fait ses armes à la télévision, notamment avec The Class en 2007), tend indéniablement vers la tendresse. Mais à force d’atténuer timidement les nuances et, surtout, de les assujettir à un scénario bien trop scolaire, le cinéaste laisse un film en demi-teinte. Dommage.

  8. Le Monde
    par Isabelle Regnier

    Dans ce long-métrage de fiction, le metteur en scène conjugue des souvenirs personnels liés à l'histoire de sa mère avec des images d'un Paris rêvé, qui lui donnent des allures de conte d'hiver.

  9. La Croix
    par Arnaud Schwartz

    Ilmar Raag enrôle Jeanne Moreau et Laine Mägi dans un film intimiste à la réussite inégale.

  10. Toutlecine.com
    par Camille Esnault

    Une Estonienne à Paris est le premier long-métrage d’ Ilmar Raag. Entre l’Estonie et la France, il développe, un peu maladroitement parfois, une fable sur les amours mortes et le temps qui passe.

  11. Elle
    par Anne Diatkine

    Le film est rare en ce qu(il montre une passion amoureuse et fixe d'une vieille dame pour un homme beaucoup plus jeune (...) il aurait cependant gagné en densité si le cinéaste avait un point de vue sur l'étrangeté de Paris et des Parisiens. L'absence de ce regard ou son peu d'âpreté limite le film.

  12. Les Fiches du cinéma
    par Isabelle Danel

    Ce long métrage venu d'une cinématographie qui se fait rare, l'Estonie, est sauvé par l'actrice Laine Mägi, touchante, et la grande Jeanne Moreau, souveraine.

  13. Paris Match
    par Alain Spira

    Un film aux côté inégaux, mais au charme balte indéniable.