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Christoph Waltz d'Inglourious Basterds à Bond 24 : pourquoi est-il si méchant ?

Christoph Waltz : les antécédents

« Son menton proéminent lui interdit l?accès à des rôles romantiques » écrivait un canard autrichien sur la première moitié (les deux premiers tiers) de sa carrière, passée à la télé allemande, où <strong>Christoph Waltz</strong> collectionnait, déjà, les rôles de simple bad guy ou de dangereux psychopathe. Sans jamais se départir de cette troublante bonhommie. Incarner le grand méchant dans le prochain James Bond ? L?acteur autrichien était né pour ça.

Der Tanz mit dem Teufel – Die Entführung des Richard Oetker (2001)

Difficile de retrouver le détail de ses très nombreux apparitions dans les séries de la télé allemande des années 1980-90 (<em>Derrick</em>, <em>Tatort</em>, <em>Rex Chien Flic</em>) et même de ses innombrables téléfilms (on peut tout de même noter qu?il a incarné Nietzsche dans une coproduction franco-allemande). Il y en a tout de même un qui ressort si on traque son pedigree bad guy, celui d?un kidnappeur impitoyable dans ce téléfilm sur l?enlèvement du fils d?un riche industriel, qui lui a valu une des plus prestigieuses récompenses de la télé allemande.Le type au masque de cochon et à la toque qui tient le flingue sur les photos ci-dessus, c?est lui. 

« Son menton proéminent lui interdit l’accès à des rôles romantiques » écrivait un canard autrichien sur la première moitié (les deux premiers tiers) de sa carrière, passée à la télé allemande, où Christoph Waltz collectionnait, déjà, les rôles de simple bad guy ou de dangereux psychopathe - sans jamais se départir de cette troublante bonhommie. Incarner le grand méchant dans le prochain James Bond ? L’acteur autrichien était né pour ça.