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PHOTOS + VIDEO - Leonardo Dicaprio : "Je n'ai pas de doublure pour les scènes de sexe" dans le Loup de Wall Street

S'il y a bien un film attendu pour la fin de cette année, c'est bien le dernier Martin Scorsese avec en rôle phare son acteur fétiche, Leonardo DiCaprio, Le Loup de Wall Street.Et l'histoire d'un courtier en bourse n'a jamais été aussi sexy que depuis que Leonardo DiCaprio y campe le rôle principal de cet anti-héros requin de la finance qui ne se refuse aucun vice : sexe, drogue, alcool, le pouvoir et les femmes.Et les femmes sont nombreuses dans ce film à user et abuser du pouvoir de séduction de l'acteur de 39 ans. Nombreuses sont les scènes de copulations en tous genres, du soft à la tendance sadomasochiste en passant par l'orgie. Dans une récente interview à Extra, Leonardo DiCaprio revient sur ses nombreuses apparitions dénudées, et mesdames et messieurs réjouissez-vous, il jure et assure qu'il s'agit bien de son corps d’Apollon tout au long des trois heures du film : "Et oui copain, c'est bien moi, complétement moi".Mais une scène plus qu'une autre semble intéresser surtout le journaliste, la fameuse scène de la bougie. Sans spoiler qui que ce soit, disons qu'il s'agit d'une scène qui semble venir tout droit des rêveries erotico-sadomaso de Fifty Shades of Grey sous fond de cire chaude et de domination. Et bien même pour cette scène, littéralement très chaude, Leonardo n'en démord pas, c'est lui, bien lui, sans trucage ni doublage : "Quand vous interprétez un tel personnage, vous devez le faire à fond. Vous devez vous dépasser et tout donner".En salle le 25 décembre 2013.MC L'histoire du Loup de Wall Street :L’histoire de Jordan Belfort, courtier en Bourse à New York à la fin des années 80. Du rêve américain à l’avidité sans scrupule du monde des affaires, il va passer des portefeuilles d’actions modestes et de la droiture morale aux spectaculaires introductions en Bourse et à une vie de corruption et d’excès. En tant que fondateur de la firme de courtage Stratton Oakmont, son incroyable succès et sa fortune colossale alors qu’il avait à peine plus de vingt ans ont valu à Belfort le surnom de "Loup de Wall Street".L’argent. Le pouvoir. Les femmes. La drogue. Les tentations étaient là, à portée de main, et les autorités n’avaient aucune prise. Aux yeux de Jordan et de sa meute, la modestie était devenue complètement inutile. Trop n’était jamais assez.La bande-annonce du Loup de Wall Street :