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PHOTOS - Ce soir, rendez-vous avec Marie Gillain sur OCS Choc et Ciné+ Premier

Ni pour, ni contre (bien au contraire) de Cédric Klapisch (2003)

La très très grande entreprise de Pierre Jolivet (2008)

La très très grande entreprise de Pierre Jolivet (2008)

La très très grande entreprise de Pierre Jolivet (2008)

La très très grande entreprise de Pierre Jolivet (2008)

La très très grande entreprise de Pierre Jolivet (2008)

La très très grande entreprise de Pierre Jolivet (2008)

Ni pour, ni contre (bien au contraire) de Cédric Klapisch (2003)

Ni pour, ni contre (bien au contraire) de Cédric Klapisch (2003)

Ni pour, ni contre (bien au contraire) de Cédric Klapisch (2003)

Ni pour, ni contre (bien au contraire) de Cédric Klapisch (2003)

Ni pour, ni contre (bien au contraire) de Cédric Klapisch (2003)

Ni pour, ni contre (bien au contraire) de Cédric Klapisch (2003)

La très très grande entreprise de Pierre Jolivet (2008)

Si Marie Gillain semble se faire rare au cinéma, elle tourne pourtant un ou deux films par an. Ce soir, vous pourrez la (re)voir dans le sombre Klapisch, Ni pour, ni contre (bien au contraire), dès 20h40 sur OCS Choc, puis à 22h15 sur Ciné+ Premier dans la comédie sociale La très très grande entreprise de Pierre Jolivet. Dans ces deux histoires, l'actrice belge sait s'entourer d'acteurs masculins phares de sa génération, comme Vincent Elbaz et Roschdy Zem.Ni pour, ni contre (bien au contraire) de Cédric Klapisch Passé quasi inaperçu entre L'auberge espagnole et Les poupées russes, le drame Ni pour, ni contre (bien au contraire) réalisé par Cédric Klapisch en 2003 n'a pourtant rien d'un navet. A l'époque, la critique de Première disait : "Klapisch n'a pas à rougir de l'efficacité de son scénario (...), ni de son honorable séquence de casse. Mais il ne faut pas chercher le suspense, l'ambiguïté ou la dimension tagique qui font la richesse du genre dans Les Affranchis ou Le Samouraï, auxquels le réalisateur fait référence."Marie Gillain joue une caméraman de télévision embauchée par Vincent Elbaz pour filmer un braquage. Sentant le sujet intéressant, elle accepte de le suivre puis se lie d'amitié avec sa bande, composée de Zinedine Soualem, Simon Abkarian et Dimitri Storoge. Mais un jour, elle découvre que Jean se sert d'elle et veut la faire participer à un dernier gros coup.Ni pour, ni contre (bien au contraire) est diffusé ce soir à 20h40 sur OCS ChocLa très très grande entreprise de Pierre Jolivet Début 2008, Marie Gillain jouait l'une des Femmes de l'ombre du drame historique de Jean-Paul Salomé. Quelques mois plus tard, on la retrouvait dans un tout autre genre assez rare dans sa filmographie : la comédie. Aux côtés de Roschdy Zem, Jean-Paul Rouve et Adrien Jolivet, elle incarne l'une des commerçantes victimes de la pollution d'une grande usine.Neuf ans après Ma petite entreprise, Pierre Jolivet critique encore les injustices sociales. Cette fois, il pointe du doigt les dégâts écologiques et humains engendrés par les multinationales. Pour Première, "on suit avec intérêt le parcours de ces justiciers amateurs, capables, malgré leurs petits moyens, de se démener pour faire valoir leur bon droit. Sans être caricaturaux, ces personnages bien campés sont servis par un quatuor d’acteurs en harmonie."Ce film a gagné le prix du Public au premier Festival CinémaScience à Bordeaux.La très très grande entreprise est diffusé ce soir à 22h15 sur Ciné+ PremierEnfin, drôle de coïncidence, Ciné+ Famiz diffuse à 20h45 ce soir My Father, ce héros, adaptation américaine de Mon père, ce héros, le premier film de Marie Gillain sorti en 1991. Si Gérard Depardieu campe encore, deux ans plus tard, le rôle du papa dans cette nouvelle version filmée par Steve Miner, c'est Katherine Heigl (Grey's Anatomy) qui reprend celui de l'actrice belge.My Father, ce héros est diffusé ce soir à 20h45 sur Ciné+ Famiz