3 Days to Kill

Kevin Costner a-t-il vraiment mérité ça ? Si le plus célèbre des bodyguards ne se distingue plus que par des seconds rôles marquants (dans The Company Men et Man of Steel, par exemple), il aurait dû s’abstenir de revenir en tête d’affiche par la porte Besson. Le distributeur-scénariste saccage le charisme de l’acteur en le transformant en un « papa-gâteau, papa-tendresse » qui gère, entre trois mandales et deux courses poursuites, les caprices d’une gamine gâtée. À choisir, on aurait préféré dans le rôle un Arnold Schwarzenegger, déjà bien amoché par de nombreux nanars. Là, entre un scénario aberrant et les envolées publicitaires de McG (à grands coups de tour Eiffel qui brille tous les trois plans), on se demande surtout s’il vaut mieux en rire ou en pleurer.

Une série B de luxe, à savourer sans rougir.

Surfant sur son bon équilibre entre action et humour, 3 Days to Kill, se révèle un excellent divertissement mis en mouvement par le réalisateur américain McG, spécialiste du genre à qui on doit les deux adaptations au cinéma de la série Drôles de dames mais aussi Terminator Renaissance ou Target.

À l'arrivée, on prendra 3 Days to Kill, dont la fin ouverte laisse présager une suite, comme un divertissement honnête. Et qu'on appréciera davantage pour ses clins d'oeil que pour l'histoire qu'on y raconte, vraiment trop arrangée avec le gars des vues.

3 Days to Kill ressemble a une variation comique de la saga "Taken", que Besson a également co-écrit et produit.

Mélangeant scènes d’action hyperviolentes et séquences de comédie familiale, le film peine à trouver le ton adéquat. Mais Kevin Costner porte beau ses 59 ans et une conviction retrouvée.

Un bon moment de rigolade amplifié par un acteur formidable qui refuse de se prendre au sérieux.

Scénarisé par Luc Besson, ce film reprend la formule et les ingrédients de Taken : un homme d’action à la vie secrète qui voit sa famille menacée par son boulot.

Ce film est le reflet du dilemme moderne : comment trouver l’équilibre entre le professionnel et le privé, arriver à faire son travail sérieusement et rentrer tôt partager un repas avec sa femme et ses enfants.

Un film ni bon ni mauvais, pas grand-chose à en tirer.

Artificiel et frénétique, on ne sait pas si c’est un thriller, une comédie ou un film familial.

3 Days to Kill Réalisé par Mc G mais dont l’histoire sort des tiroirs de notre bon vieux Luc Besson, regroupe tous les ingrédients du film d’action classique. Porté par un Kevin Costner très en forme ces derniers temps, il ravira les amateurs de thriller musclé qui n’est pas à une explosion près. Rien de nouveau sous le soleil, « 3 Days to Kill » fait son boulot, il nous divertit mais ne réinvente pas le cinéma non plus…

Trash mais divertissant à souhait.

Un film qui n’arrive pas à capter notre émotion comme Besson avait pu le faire divinement bien dans Léon.

Comment un film qui ne démarre pas si mal peut il finir de cette façon ?

Un tueur, un terroriste, une ado, Paris… ça ne vous rappelle rien ? Et oui c’est la sauce Luc Besson, ici au scénario. Une sauce qui commence sérieusement à sentir le réchauffé et qui, entre clichés, humour lourd et violence gratuite frise l’indigestion, sauf pour le plaisir de retrouver Kevin Costner.

Manu Payet signe une sympathique comédie sentimentale. Contre toute attente, celui que l’on espérait féroce et décalé affectionne la bluette super conventionnelle. Quelques bons mots, zéro prise de tête, des comédiens charmants : les fans de romance trouveront leur compte avec ce gentil marivaudage.

Perdu dans la capitale et pris dans les rets d'un de ces scénarios débiles dont Besson a le secret, le cow-boy aux yeux clairs s'en sort le flegme haut. Un miracle tant le film, salmigondis de scènes d'action bourrines, de sentimentalisme à deux balles, de quipropquos affligeants et de clichés moisis (...) atteint les tréfonds du ridicule

Kevin Costner revient en forme dans une "bessonade" tournée à Paris qui se rêve d’être le nouveau Taken mais qui pâtit d’un script brouillon où la capitale française devient surtout un gigantesque lieu commun.

3 Days to Kill est un mélange entre d’un mauvais film de Liam Neeson mélangé avec une sitcom bas de gamme.

Taken 3 ? Presque. La Ville lumière sert toujours de décor en forme de carte postale et il suffit de remplacer Liam Neeson par Kevin Costner. Les amateurs d’action seront servis avec scènes explosives
et poursuites spectaculaires. En revanche, on pourra regretter un manque de second degré.

Comme Ethan, 3 Days to kill a une mission mais il préfère shooter d’abord et se poser les questions après.

Le cinéaste McG fait équipe avec Luc Besson pour un film d'action hautement improbable, où Kevin Costner en profite pour faire du tourisme.

Kevin Costner tue tous les méchants , mais pas l'ennui de cette "danse avec les lourds".

Un scénario très faible qu’aucune figure de style pop ni aucune icône du cinéma n’arrivent à pallier.