Tous les films commençant par F

L'histoire aux intonations bibliques de trois bandits repentis qui ramènent un nouveau-né trouvé dans le désert à New Jerusalem, la ville dont ils viennent de dévaliser la banque.

1889, en Oklahoma. Sundance et Cheyenne, ainsi que leur bande, dévalisent la banque de John Pettit. Maggie, la fille de ce dernier est la fiancée de Vance qui est nommé chef de la police et poursuit les bandits sans relache. Par amour pour Vance, Cheyenne

Le shérif Franciscus poursuit Jed, un hors la loi qui, par son évasion lui à cou^té son grade. Aidé de Sonny, véritable garçon manqué, Jed ne cesse de commettre des larcins et chaque fois Franciscus arrive trop tard pour les arreter. Il lesretrouve mais a

Construite comme la célèbre danse, une suite de sketches qui nous entraine sur les pas successifs de plusieurs personnages, évoquant la farandole sans cesse renouvelée des rapports humains. NVREVNO.

Sam est un détenu exemplaire. A quelques mois de sa sortie de prison, il prépare assidument sa réinsertion. Lors d'une permission, son passé le rattrape et un accident ne lui laisse qu'un seul choix : la fuite. Cinq ans plus tard, il a refait sa vie en Thaïlande, où il a fondé la famille dont il a toujours rêvé. Mais Narong, le parrain local, l'oblige à plonger à nouveau dans la délinquance. Quand Sam veut tout arrêter, Narong s’attaque à sa famille… Sam va traverser la Thaïlande pour se venger de son bourreau.

Dans un complet silence, course de relais de jeunes gens dans Berlin: ils se transmettent un drapeau rouge. Couleur et mouvement (étudiant).

Dans un futur normalisé, un homme découvre par accident son vrai visage.

Anton, écrivain en mal d'inspiration, vit avec Julie, doctoresse qui travaille pour une organisation humanitaire. Seul pendant quelques jours en Ethiopie, Anton erre dans les rues de Harar. La maison de Rimbaud, baptisée Rimbo House est ouverte. Il y entr

Tous les membres de la famille sont réunis suite à la mort accidentelle de M. Park. Son fils aîné, son deuxième fils qui vivait avec lui, le cadet venu des Etats-Unis, et sa fille qui avait été chassée de la famille. Les villageois sont également venus as

En 1740, à Madrid, Farinelli a choisi depuis trois ans de vouer sa voix à la seule guérison du Roi Philippe V d'Espagne. Depuis sa castration à dix ans, Carlo Broschi, dit Farinelli, a conqui les foules napolitaines, puis européennes de sa voix pure, tandis que Riccardo, son frère ainé, compose pour lui et "concrétise" avec les femmes que son cadet a séduites. A Londres dès 1734, le castrat travaillant pour Porpora, compositeur au théâtre de la Noblesse, rivalise avec Haendel qui dirige celui de Covent Garden. Farinelli finit par chanter Haendel, mais se sépare de son frère et décide d'abandonner la scène. Exilé à la cour d'Espagne, seule Alexandra, son amour connu en Angleterre et venu le rejoindre, lui permet de se réconcilier avec Riccardo. Le duo fraternel reprend alors et Alexandra portera l'enfant, "oeuvre commune" de Farinelli et Riccardo...

Zanga, enfant adultérin, retourne dans son village après en avoir été chassé plusieurs années auparavant, pour découvrir qui est son père. Son arrivée coïncide avec les brusques mouvements de Faro, l'esprit du fleuve. Les villageois ne tardent pas à interpréter ces manifestations comme un signe de colère lié au retour du bâtard...

Documentaire pour la télévision sur l'île de Farö, auquel Bergman donnera une suite dix ans plus tard avec "Mon île, Farö".

La chronique d'une famille de paysans aveyronnais au rythme des quatre saisons.

A travers les souvenirs de Tomi Ungerer et son regard sur sa collection d’objets de l’époque nazie, ce documentaire tente de démêler la question de l’attraction/répulsion des images du fascisme, et met en parallèle les événements d’alors avec ce qui se passe dans le monde aujourd’hui. Entièrement tourné à Strasbourg, avec la participation de Fredyy Raphael et Francis Rosenstiel, le film nous livre une belle analyse, toujours d’actualité, de la dangereuse séduction de l’esthétique du fascisme, au prisme du regard critique de Tomi Ungerer.