Tous les films commençant par S

Fernando Montijos est un jeune et fringant homme d'affaires. Après avoir lu son horoscope dans le journal Suspiros del Corazon, il s'aperçoit que toutes les prédictions qui y figurent se réalisent, lui permettant d'empocher une belle somme à la bourse. Po

Drame sentimental abordant la passion profonde, la jalousie, la possessivité, la confrontation entre le rationnel et l'irrationnel. Après 12 années passées à l'étranger, un homme rentre dans sa ville natale, où il revoit son ancien amour, ses am

Vincent Towers est riche, antipathique, et suspecté d'avoir assassiné son père. Clay Arlington est pauvre et honnête. Clay fait la connaissance de Vincent pour la première fois à l'enterrement de leur père. A part eux deux, personne ne sait qu'ils sont frères. Vincent fait en sorte que sa propre voiture, conduite par Clay, ait un accident. Il espère se faire passer pour mort, grâce au cadavre de Clay. Mais Clay est vivant... et amnésique. Deux médecins reconstruisent Clay à l'image de Vincent, physiquement et moralement. Quel effet cela fait-il à un homme pauvre de devenir riche? Quel effet cela fait-il à un homme honnête de devenir suspecté de meurtre? Nous allions oublier... Encore un détail. Clay est noir. Vincent est blanc. Dans le film, tout le monde trouve qu'ils se ressemblent. Tout le monde, sauf vous. Mais chut... A part vous, personne ne s'en rendra compte.

Le film est présenté au sein de la sélection Un Certain Regard lors du Festival de Cannes 2011.

Un jeune couple quitte son village pour s'installer à Calcutta et découvre la misère des villes. Marqué à jamais par sa propre histoire, l'exode vers le Bengale occidental en 1947, ce contemporain de Satyajit Ray, homme engagé et enseignant de cinéma, fut le cinéaste des déclassés et des laissés pour compte.

Dans un village de la forêt Nara, célèbre pour ses cèdres. La famille Tahara a toujours vécu de la sylviculture. Mais la récession économique pousse les villageois à gagner la ville et le village se dépeuple. Un projet de construction de chemin de fer, est vite abandonné. Kozo, le père, y a travaillé et ne se remet pas de son chômage, du vide du village. Après 15 ans, il disparaît dans le tunnel. La famille éclate alors. Eisuke, le neveu, décide de rester au village avec la grand-mère. L'épouse de Kozo et leur fille partent. Caméra d'or, festival de Cannes 1997.

Années 1960. Suzanna est une femme de 40 ans vieillie avant l’âge et coincée dans un mariage de classe sociale aisée. Elle devra choisir entre sa vie de femme et de mère gouvernée par les conventions et une existence plus insouciante incarnée par son jeune amant.

C'est l'histoire d'une famille et d'un amour à travers le parcours d'une jeune femme, Suzanne. D'abord les années d'enfance avec sa soeur Maria, années heureuses malgré l'absence de la mère, décédée prématurément. Nicolaï, leur père, mène tant bien que mal la barque. Maladroit et aimant, il se sacrifie peu à peu pour elles. Puis vient l'adolescence. Suzanne tombe enceinte, rencontre un garçon un peu voyou dont elle tombe éperdument amoureuse. Elle s'enfuit avec lui, abandonnant son enfant. S'ensuivront les année d'errances, la prison, l'attente, un accident. Un chemin difficile, parsemé d'embûches avant que cette famille puisse se reconstruire, avant que le père, la fille et le petit-fils se retrouvent...

Suzanne, jeune femme qui ne veut pas de contraintes, résiste à l'autorité de l'homme qui veut la dominer, jusqu'au jour ou il cède et jure de s'amender. Heureuse elle le croit, mais lui redevient l'homme brutal qui'il était.

Suzanne, bien décidée à trouver un époux sous la bienveillance de son père, rencontre le prince Mikael de Sylvanie. Très vite une idylle naître entre les deux, mais le Prince est sommé de revenir dans son pays, afin d'épouser au plus vite une princesse de

Frank et Madelein sont un vieux couple heureux alors que leur ami Max court les maîtresses. Après la mort soudaine de Madeleine, Frank se sent perdu. D'autant que ce deuil réveille celui, bien plus inacceptable, de leur petit garçon tué pendant la guerre d'Algérie.

La vie de Suzanne va basculer à tout jamais. Personne dans sa famille ne semble s'en rendre compte.

Dans un petit village de Bourgogne, la réalisatrice filme au fil des jours la vie de Suzanne et René, respectivement belle-mère et gendre. Fruit d’un patient travail d’approche, le film dessine un portrait touchant du monde paysan.

Séguin est un policier qui a épousé une avocate. Cette dernière, tout aussi passionnée par son métier que son mari, mène ses propres enquêtes, avec ses méthodes bien à elle.

Susan Trexel, femme du monde aussi entêtée qu'opiniâtre, revient d'un très long voyage en Europe totalement transfigurée par la foi. Ses rencontres avec des hommes et des femmes d'Eglise ont en effet radicalement changé les convictions de cette femme de caractère. Aussitôt installée parmi les siens, Susan se met en tête de convertir tout son entourage à ce nouveau culte qu'elle a découvert un peu par hasard sur le vieux continent. Tout entière vouée à sa mission, elle finit par se brouiller avec son mari et met bientôt en péril jusqu'à sa vie familiale. L'entêtement de Susan la place rapidement dans une situation inconfortable...

« On verra bien ! » Suzanne prend la vie comme elle vient, avec calme et sérénité. Elle vit seule dans la ferme qui l’a vue naître en 1930, en lisière d’une forêt des Hautes-Vosges. La maison n’est raccordée ni à l’eau ni à l’électricité. Au gré des saisons, Suzanne cultive son potager, prépare ses conserves, lit la presse, marche dans la montagne, accueille les visiteurs de passage. Elle savoure en riant tous les petits plaisirs de la vie, s’amusant d’incarner cette sobriété heureuse à laquelle aspirent ses contemporains.

A Shanghaï, le narrateur, un vidéaste, tombe amoureux de Meimei, une jeune fille qui joue la sirène dans un bar de nuit. Il imagine alors l'histoire de Mardar, coursier qui conduit à moto la jolie Moudan, fille d'un mafieux. Mardar en tombe rapidement très amoureux, mais se voit pourtant obligé - à cause de ses relations avec le Milieu - de participer à son kidnapping. Relâchée après le versement d'une rançon, Moudan, désespérée par l'acte de Mardar, se jette dans les eaux du fleuve Suzhou. Quelques années plus tard, Mardar sort de prison et part à la recherche de Moudan. Dans un bar, il fait la surprenante connaissance de Meimei, sosie de Moudan, et l'interroge, ainsi que le narrateur, sur sa bien-aimée dont il est encore très épris et qu'il pense encore vivante.