Toutes les critiques de Apprenti Gigolo

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    Casting de rêve pour cette quatrième fiction écrite et réalisée par John Turturro. Ce dernier joue les gigolos sous la houlette d’un ami reconverti
    en mac d’occasion (Woody Allen) et fait le bonheur de femmes très différentes (de Sharon Stone à Vanessa Paradis en passant par Sofia Vergara !). Les images du quartier hassidique de Brooklyn sont étonnantes. Mais, malgré quelques répliques bien senties et de jolis moments, le scénario peine à rebondir vers la comédie et se perd en conflits artificiels.

Les critiques de la Presse

  1. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Woody Allen profite de ce film pour lancer un cri d’amour à sa ville, New York, qu’il filme avec une passion communicative.

  2. Boston Globe
    par Ty Burr

    Le film le plus convaincant que Turturro n’ait jamais réalisé et une de ses plus douces performances, même si certains moments sont parfois brouillons, il prend une place si particulière qu’on s’en moque.

  3. Variety
    par Peter Debruge

    John Turturro amène ce sujet avec sensibilité et pertinence alors qu’il aurait pu prendre une autre tournure.

  4. Screen International
    par Dan Fainaru

    Turturro est un excellent auteur mais on reconnait tout de même la patte d’Allen, il s’est largement inspiré de ses films.

  5. Guardian
    par Catherine Shoard

    Turturro a donné à Allen sa meilleure apparition sur grand écran depuis bien longtemps. Une grande partie a été écrite pour lui.

  6. Le Figaro
    par Etienne Sorin

    L'acteur fétiche des Frères Coen signe une comédie pleine de délicatesse (...), sur un thème pourtant périlleux.

  7. Paris Match
    par Alain Spira

    Survitaminé à l’humour juif new-yorkais, le film évite l’écueil du graveleux pour dessiner le portrait sentimental d’un homme foncièrement bon qui sait, à l’instar des charmeurs de serpents, séduire les femmes.

  8. Positif
    par Lorenzo Codelli

    Les infinies variations loufoques nous entraînent dès le début dans une escalade (...). Le duo (Turturo et Allen) n'échappe pas aux volets d'actualité telle la crise économique ou la fin de l'insalubrité américaine. On aimerait les revoir (...)

  9. CinémaTeaser
    par Emannuelle Spadacenta

    Un brin désuet mais charmant.

  10. HeyUGuys
    par Ian Gilchrist

    « Apprenti Gigolo » est un film totalement inoffensif bien que le sujet le soit.

  11. L'Express
    par Eric Libiot

    Le film patine dans une intrigue où débarque une veuve juive orthodoxe, alors que la chronique amusée lui allait mieux. C'est dommage. Mais si John Turturro pouvait donner des nouvelles plus souvent, ce serait bien. Merci.

  12. Les Fiches du cinéma
    par Marine Quinchon

    En cherchant à tout prix à se montrer sensible et spirituel, “Apprenti gigolo” perd en efficacité et désoriente parfois le spectateur.

  13. Hollywood Reporter
    par Todd Mc Carthy

    Un regard modeste, parfois drôle et même touchant sur une bande de New Yorkais.

  14. Metro
    par Mehdi Omaïs

    Bien qu’inégale d’un point de vue scénaristique, cette comédie douce-amère possède ce qu’il faut de charme et d’éclat pour offrir au spectateur un moment plaisant.

  15. Version Femina
    par Valérie Robert

    Dommage que le scénario se perde un peu en route, car le duo inédit des deux acteurs fonctionne à merveille !

  16. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    La malice et la délicatesse du duo que forment John Turturro et Woody Allen débouchent sur une comédie agréable, parfois surprenante et sexy en diable. Quant à Vanessa Paradis en flamme éteinte doublement courtisée, elle est tout simplement étonnante. On peut se laisser séduire par cet Apprenti gigolo.

  17. Les Inrocks
    par Romain Blondeau

    Apprenti gigolo est une classique mais séduisante rom-com qui emprunte son sujet à la série Hung et son atmosphère jazz à la tradition des comédies new-yorkaises, louchant très fort du côté de Woody Allen – ici gratifié d’un second rôle assez tordant de pimp libidineux.

  18. Le JDD
    par Danielle Attali

    Si le scénario a ses limites, cette comédie "brooklynesque" en diable, très estampillée cinéma indépendant, est teintée d'humour et scandée par le bavardage de Woody Allen, exactement comme on le préfère.

  19. Télérama
    par Jacques Morice

    Vanessa Paradis, en veuve hassidim, on y croit moyen. Pour le reste, c'est plaisant, gentiment immoral, spirituel comme une (petite) comédie à la Woody Allen.

  20. A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Un plan tordu certes, pour un film parfois poussif, mais qui permet de croiser John Turturro en gigolo amateur, Sharon Stone en cliente épanouie, Vanessa Paradis en veuve fragile, et surtout Woody Allen en mac d’opérette dans l’un de ses grands numéros d’acteur qui nous manquent tant.

  21. Critikat.com
    par Josué Morel

    Mausolée peuplé de morts-vivants, Apprenti gigolo parvient néanmoins à sortir de son apathie dépressive à l’issue d’une scène de procès hassidim où l’intrigue se dénoue dans une atmosphère d’enterrement.

  22. Film.com
    par Jordan Hoffman

    Un projet effronté et orgueilleux.

  23. Elle
    par Françoise Delbecq

    L'hommage de l'élève au maître est clair, le casting classe. Il manque juste un scénario mieux écrit et une vraie direction d'acteurs. Au final, un film sympathique, mais un peu léger.

  24. Nouvel Obs
    par Nico Schaller

    Turturro a juste oublié le principal : l’esprit. Chaque trait d’humour, ici, pèse une tonne. Et la fable, qui se veut légère et fantaisiste, est juste artificielle et ringarde.

  25. Ouest France
    par La rédaction de Ouest France

    Une comédie bavarde et poussive.

  26. StudioCiné Live
    par Thomas Baurez

    Une bluette pudique sur l'amour tarifé réalisée par John Turturro en hommage à Woody Allen.

  27. Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    Cette molle comédie, au scénario faiblard, ne brille que par l'interprétation de Vanessa Paradis, jeune veuve mélancolique.

  28. Le Monde
    par Sandrine Marques

    Sans tempo la mécanique du rire se grippe au profit d'une mécanique du pire.