Toutes les critiques de Exit Una Storia Personale

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Amato montre bien l'impuissance du personnel soignant et de la famille face à des cas de psychose aiguë. Légèrement autobiographique, tourné en HD, ce premier film a l'énergie vibrionnante du héros, sans cesse en mouvement. Dommage que l'aspect reportage, prenant, soit parasité par un montage confus et des variations chromatiques impromptus.

Les critiques de la Presse

  1. A voir à lire
    par Claude Rieffel

    Un beau premier film à fleur de peau sur la relation de deux frères, l’un tentant de retenir l’autre au bord du gouffre.

  2. StudioCiné Live
    par Xavier Leherpeur

    A l'instar de son héros, le film joue la carte de la nervosité à fleur de peau. Une hyper réactivité frôlant parfois le premier degré et permettant au réalisateur de faire l'économie d'un réel point de vue. Mais conférant à cette fiction, filmée dans un chaos rageur, iun pugnacité désespérée non exempte d'émotion.

  3. Le Monde
    par Jean-Luc Douin

    Une réflexion personnelle sur la maladie mentale, par un jeune cinéaste italien prometteur.

  4. Le Figaro
    par Marie-Noëlle Tranchant

    Pour son premier film, Massimiliano Amato, a saisi une caméra et pris dans son objectif ce qui lui tenait à coeur. Pas de production, aucun moyen, aucune distance entre le film achevé et les sentiments qui l'ont dicté : l'angoisse, la tendresse, la fatigue, l'impuissance y passent avec une sincérité bouleversante?

  5. Nouvel Obs
    par Marie-Elisabeth Rouchy

    Marco, jeune psychotique en thérapie de soutien, demande à son frère aîné, Davide, de l’accompagner en Hollande pour suivre un programme de suicide assisté. Massimiliano Amato, dont c’est le premier long-métrage, suit la relation des deux frères, leur impossibilité à communiquer malgré un amour profond, et ouvre, mine de rien, une petite brèche dans l’univers psychiatrique tel qu’il est vécu de l’extérieur.

  6. Brazil
    par Johan Girard

    Si la sincérité de l'oeuvre ne se discute pas, on déplore forcément ses défaillances techniques. Assommé par le récit et la mise en scène, le spectateur finit par être écrasé par la lourdeur de l'ensemble.