Toutes les critiques de Maestro

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Inspiré de l’histoire du regretté Jocelyn Quivrin sur le tournage des Amours d’Astrée et de Céladon, d’Eric Rohmer, le cinquième film de Léa Fazer fait l’éloge de la transmission avec une légèreté de ton adéquate. (...) La relation qui s’instaure entre le vieux cinéaste et son élève est franchement subtile : elle passe moins par des aphorismes ou des conseils que par des silences bienveillants et des échanges courtois. Plus il avance, plus ce « petit » film révèle l’air de rien sa nature, profonde et résolument positive.

Les critiques de la Presse

  1. Version Femina
    par La rédaction de Version Fémina

    Cette comédie sur la transmission, l’amour du cinéma et l’amour tout court est une jolie surprise.

  2. Culture box by france Tv
    par Pierre-Yves Grenu

    Le film est rythmé, émouvant et drôle, servi par une image chaude, impeccable. On pourra même trouver ici et là des effluves allenniennes, dans le rythme, l'esquisse des personnages, la bienveillance et l'humour. Le film, ce qui ne gâte rien, ne rate pas sa fin, alors que les portes de mauvaises sorties se présentaient comme une évidence.

  3. Clapmag.com
    par Gauthier Moindrot

    Si le statut particulier du film peut freiner les spectateurs les moins cinéphiles, Léa Fazer a réussi à faire de ce double hommage une comédie de transmission délicate et touchante qui ne manque pas d’humour.

  4. par Danielle Attali

Cette impeccable comédie sur la transmission et la culture séduit d'emblée grâce à des dialogues et à des situations enlevées et pleines d'humour. Léa Fazer a su trouver le ton pour rire finalement de tous les esprits de chapelle. Michael Lonsdale incarne à merveille et très justement Éric Rohmer, lui prêtant sa bienveillance savante. Face à lui, le formidable Pio Marmaï, drôle et touchant, s'en donne à cœur joie, révélant un talent tout en nuances. Maestro, quel régal!

  • Paris Match
    par Paris match

    Léa Fazer signe un film à la fois drôle et émouvant sur la transmission dans le monde du cinéma.

  • A voir à lire
    par Emma Martin

    La noblesse du propos recouvre les faux-pas d’une mise-en-scène naïve. Si la candeur de la réalisatrice conduit à une forme d’angélisme tant dans les rapports entretenus par les protagonistes que dans la définition proposée de l’amour, on ne peut que succomber au charme de cette prise de position idéaliste.